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Influence des pensées sur l'aura
Tirée du livre Lecture d'auras d' Anne MEUROIS-GIVAUDAN

 

" Si tu es malade, recherche d’abord ce que tu as fait pour le devenir " Hippocrate

Ce chapitre, est pour moi d'une extrême importance car il peut faire comprendre comment naissent les maladies et comment ce qui semble encore aujourd'hui anodin peut grandement influencer notre vie et notre santé.

La maladie est pour moi et après de multiples recoupements et observations, une dysharmonie entre nos différents corps et notamment entre notre façon de penser, de dire et d’agir. Claudia Rainville, dans son excellent ouvrage intitulé la "Métamédecine" nous offre un éventail tout à fait réaliste des multiples causes des maladies. Je vous en donne ici un aperçu :

Mais quelle qu'en soit la cause, les formes-pensées créées par l'une ou l’autre de ces situations continueront quant à elles le travail de sape qui se manifestera à plus ou moins longue échéance sur notre organisme physique et sur notre psychisme. Je souhaiterais donc ici vous apporter plus de précisions sur ces "formes-pensées" que j’ai déjà mentionnées dans le chapitre précédent.

Comment caractériser une "forme-pensée" ? II s’agit bien là d'une pensée mais d'un ordre tout à fait particulier. Elle puise sa force dans la répétition avec laquelle elle est émise avant de donner son information personnelle au chakra qui lui correspond. Celui-ci répercutera le message à l'organe qui en dépend.

Un exemple : une forme pensée de colère pourra envoyer son message au 3e chakra, puisqu'il s’agit là d'une émotion, qui lui-même le retransmettra à la vésicule ; s'ensuivront de possibles nausées, maux de tête, et à la longue boue, ou calculs dans la vésicule.

Nos nombreuses sorties hors du corps nous ont permis de suivre 1'étonnant voyage d'une pensée et j’aimerais vous le présenter ici pour que vous puissiez vous imprégner de son itinéraire avant qu'elle ne devienne "forme-pensée".

Lorsqu'une pensée est émise avec force, qu'elle soit de joie, d’amour, de colère, de haine ou de peur, le processus est identique. Plus la force qui 1'émet est grande plus elle traversera les différentes auras avec rapidité, un peu comme un éclair zèbre un ciel sombre et nuageux. Si cette émission est claire, belle et lumineuse, elle renforcera les zones traversées et les consolidera. Si au contraire la pensée est sombre, lourde, elle ouvrira des brèches dans les différentes auras et les fragilisera. C'est une première étape dans l’action des formes-pensées.

S'il s’agit de pensées à bas taux vibratoire, une partie d'entre elles va rester aux alentours de la personne qui en est l’auteur, et ainsi va nourrir des êtres de 1'éther, friands d'énergies de peur, de colère, de violence, ou de tout ce qui y ressemble. Peu à peu ces êtres feront partie de 1'existence de la personne et un cercle vicieux s'instaurera entre eux. Ils stagneront à la périphérie du corps physique de leur proie et leur présence affaiblira sa résistance, laissant la porte ouverte à nombre de maux divers.

Si les pensées sont de nature élevée, elles renforceront les couleurs de l’aura par une luminosité particulière qui éclairera de l’intérieur 1'être qui les a émises. II est vrai que l'on est parfois attiré par des personnes qui extérieurement n’ont rien de bien spécifique mais dont 1'émanation que l'on ne perçoit pas mais que l'on ressent, est infiniment attirante.

De la même façon que pour les "formes-pensées" à bas taux vibratoire, ces pensées vont en attirer d’autres un peu comme de puissants aimants, et plus une personne émettra de l’amour, de la joie, de la confiance, plus ce sera facile pour elle de vivre dans cet état d'être lumineux car ses corps subtils seront nourris en permanence à cette source communicative.

Dans le même temps, une partie des pensées va voyager bien au-delà de son émetteur. Ces pensées vont alors rejoindre un sac que l'on appelle, dans certaines traditions, un égrégore. II existe un égrégore spécifique à chaque type de pensées émises. Par exemple, des pensées de colère ou de haine rejoindront un égrégore de même type alors que des pensées de joie ou d’amour seront aimantées par 1'égrégore qui leur correspond. Ce sac, qui n’a pas d'existence propre ne vit que par les pensées qui le composent, mais son action est extrêmement importante, et j’espére réussir à vous la faire toucher du doigt.

En effet, si vous envoyez une pensée de lassitude ou de découragement, 1'égrégore qui la reçoit et s'en nourrit va immédiatement etre aimanté par d’autres personnes qui ayant entrepris une action en un autre point de la planéte, se sentent découragées. L’egrégore par son action va renforcer ce découragement ou cette lassitude. De la même façon, des pensées limpides reflétant l’amour, la joie, 1'espoir, la tendresse communiqueront un é1an à tous ceux qui essaient d'oeuvrer dans ce sens. Tout ce que vous ferez et penserez avec amour ira nourrir l’amour et dynamisera ceux qui essaient d'instaurer plus d'humanité.

Cest ainsi que, sans vouloir nous culpabililiser, nous pouvons comprendre comment nous sommes reliés à chaque être de cette planéte, comment nous sommes en partie responsables de ce qui arrive, comment nous sommes les créateurs et les parents de nos pensées, et quelle est l’importance de celles-ci. Que cela ne nous culpabilise pas, car la peur comme la culpabilité n’ont jamais fait avancer ou évoluer une personne ou une situation, mais que cela nous fasse prendre conscience de notre pouvoir d’action. N’oublions pas que tout ce dont je viens de vous parler se déroule à la vitesse de la pensée... Sachons simplement que lorsque nous baissons les bras, d’autres les baisseront avec nous, et lorsque nous nous levons au dedans de nous, des regards d'espoir et de joie scintilleront aussi.

Mais revenons ici aux pensées-maladies puisque c'est le sujet de ce livre. les pensées qui vont rester dans l’une des auras de leur créateur vont apparaitre à l’observateur, sous les formes géométriques les plus diverses et parfois ectoplasmiques si la pensée est mal structurée. Une pensée obsessionnelle aura, par exemple, une coque très dense et trés structurée ; de même, une pensée ancienne s'entourera d'une bordure plus épaisse selon le nombre d’années de son existence. La couleur, quant à elle, permettra au lecteur de déceler le type de pensée émise, il peut s’agir d'une vieille colère, d'une grande culpabilité, d'une peur oubliée... Sa situation dans l’une des auras va également être un précieux renseignement : si la pensée, stagne dans l’aura astrale, il s’agira vraisemblablement d'une émotion mal digérée ; si elle se trouve dans l’aura mentale, nous chercherons davantage de quelle façon le patient a compris un évènement, de quelle manière il l’a traduit pour que cette pensée destructrice se soit créée et maintenue dans son aura. Une pensée venant de l’aura du " Je " nous ramène à des événements de vies antérieures.

Il arrive parfois que la forme-pensée contienne un visage ou une silhouette évoquant la personne qui peut être à l'origine de cette création. Nous l’avons vu dans les exemples du chapitre précédent. Je précise cependant que personne n’est véritablement cause d'un mal. Cest toujours nous, qui sommes les créateurs de notre façon de voir, d'interpréter, de recevoir les événements et de franchir plus ou moins bien les obstacles qui nous sont présentés. Si vous mettez une dizaine de personnes devant la même situation, chacune réagira à sa façon et ce qui paraîtra insurmontable pour l’une ne sera qu'une banalité pour l’autre, car "Tout est dans l’oeil de celui qui regarde". Je signalais un peu plus haut que les "formes-pensées" avaient une action déstructurante sur une partie du corps de leur auteur ainsi que sur le chakra correspondant. Dans l'ouvrage de Claudia Rainville, "la Métamédecine", nous trouvons sur le sujet des tableaux qui semblent tout à fait correspondre à ce que j’ai pu constater lors des lectures d’auras. Je me permettrai donc de vous citer quelques exemples tirés de ce livre :

Les POUMONS représentent la vie, le besoin d'espace et de liberté. les maladies qui y sont rattachées sont très souvent reliées à un profond découragement, on n’a plus envie de vivre. La question à se poser est alors "Suis-je fatigué de la vie... ou de me battre pour arriver à quelque chose ?'

L’HYPERTENSION peut être reliée à une trés forte émotion ou à une émotion de longue date non résolue. Elle affecte surtout les personnes qui refoulent leurs émotions ou qui conservent un secret de peine, de culpabilité ou de rancune.

L’ESTOMAC sert à la digestion et représente notre capacité d’acceptation. Les douleurs représentent des situations que l'on n’a pas digérées, que l'on trouve injustes, qui font mal, avec un sentiment d'impuissance parce que l'on ne se sent pas reconnu (douleurs) ou qui font vivre de la colère parce qu’on ne se sent pas respecté ou apprécié à sa juste valeur (brûlures, gastrites).

Chaque organe est en liaison avec un type de situation, une façon d’appréhender la vie ; sa faiblesse ou sa force en sera tributaire.

A nous d’apprendre peu à peu à transmuter nos pensées, à ne plus nous y accrocher, pour laisser place à un lâcher-prise conscient, vecteur de sécurité et de guérison de l’âme et du corps.

Je connais un sage en Inde qui m’a dit un jour et sans doute l’a-t-il répété bien des fois : "Je fais moi-même ma cuisine et souvent je la fais pour les autres. Je lave moi-même mon linge, parce que pendant ce temps-là, je chante des chants sacrés et je pense à Dieu. Si quelqu'un d’autre le fait à ma place, il pensera que tout cela l’ennuie, l’agace ou lui fait perdre du temps... ainsi les énergies contenues dans la nourriture et dans les vêtements ne seront pas les mêmes et perdront leurs qualités de regénération."

La grande loi qui régit la pensée est universelle et étemelle, et nous devons en tenir compte. la physique quantique vient elle-même de prouver que "toute pensée est acte puisqu'elle est un mouvement quantique au même titre qu’un mouvement de particules", et que " son aspect vibratoire est perçu par - donc modifie - la globalité" (Michel Random. Extrait du colloque de Tokyo organisé en sept. 95).

Voici une pensée de Mikhaël Aïvanhov pour terminer:

"Comment se fait-il que des médecins, des infirmières aient pu vivre parmi les pestiférés, les lépreux, les tuberculeux, sans être contaminés tandis que d’autres, même s’ils faisaient tout leur possible pour échapper à la contagion, les microbes les rattrapaient et ils étaient atteints? L’explication est simple: les premiers avaient une foi extraordinaire, un grand désintéressement, et un sang très pur, alors que les autres avaient laissé des impuretés pénétrer en eux, et les impuretés sont toujours une bonne nourriture pour les microbes et les virus. La pureté des pensées et des sentiments, dont dépend la pureté du sang, s’oppose à la maladie. Tandis que si le mal a pénétré dans les pensées, dans les sentiments, dans les désirs, voilà déjà la porte ouverte, et il est tellement facile ensuite pour le mal de descendre jusque dans le plan physique! C’est dans le plan psychique tout d’abord que nous sommes vulnérables"

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